Bienvenue sur Twilight RPG , 2 ans apèrs révèlation la petite ville de Forks est calme mais pas pour longtemps ... |
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| Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE | |
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Carlisle Cullen ¤Fondateur du Clan Cullen¤
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| Sujet: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Jeu 1 Juil - 18:50 | |
| Le jour venait de se lever sur la bonne ville de Forks et je venais de terminer ma garde de nuit, je m'apprêtais à enchaîner avec mes consultations journalières. Cela faisait trois nuits que je faisais des gardes, cela ne me fatiguais pas bien sûr, mais je devais faire attention, mes collègues finiraient par se poser des questions, je me devais donc d'être très prudent, voilà pourquoi j' avais dit au responsable que j' attendrais la semaine prochaine avant d'avoir d'autres gardes. Il s'était passé quelque chose à l'hôpital aujourd'hui, j'avais perdu un patient, une petite fille, elle avait six ans et allait entrer dans sa septième année. Elle était arrivée à l'hôpital avec tous les symptômes d'une grippe, mais malgré les soins qu'elle avait reçu, cela avait empiré à une vitesse foudroyant, le mal avait attaqué son coeur et ses poumons, elle mourut finalement d'une embolie sur la table d'opération.
J'étais resté dans la salle d'opération longtemps après avoir déclaré l'heure de la mort, je m'étais chargé de rendre la petite fille présentable et ce fut à moi qu'incomba la tâche de prévenir les parents de l'enfant. J'avais encore devant mes yeux l'image de la mère, s'accrochant à moi et me frappant sur le torse avec ses poings, me rendant responsable de la mort de sa fille. Je l'avais laissé faire, essayant de la consoler. Le père de l'enfant avait calmé sa femme et le couple avait demandé à rester seul un moment avec leur enfant. Cela leur fut accordé bien sûr. Lorsqu'ils furent parti, ma nuit se terminait et je gagnais mon bureau, j'en refermais la porte, demandant à ce qu'on ne me dérange pas.
Ce n'était pas la première fois que je perdais un patient bien sûr, mais à chaque fois cela m'était douloureux, à plus forte raison lorsque c'était un enfant. Je me mettais parfaitement à la place des parents, je savais que si quelque chose de similaire arrivait à l'un des miens, j' accuserais tout le monde, je serais fou. J'avais prit quelques instants dans mon bureau pour me ressaisir, je devais oublier ce visage, au moins pendant le temps que j'étais au travail. je regardais la liste des patients qu'une de mes collègues venait de m'apporter. Je me levais et allais chercher la patiente suivante dans la salle d'attente.
- Lise Vinca s'il vous plaît.
Dernière édition par Carlisle Cullen le Jeu 1 Juil - 19:13, édité 2 fois | |
| | | Lise Vinca Humain
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Jeu 1 Juil - 19:08 | |
| Lise était assise dans la salle d'attente de l'hôpital de Forks. Depuis quelques jours elle ressentait de fortes douleurs dans la poitrine, cela devait être dû à sa maladie. N'y tenant plus, elle avait fini par se diriger vers l'hôpital, où elle espèrait trouver un médecin compétent pour l'aider. Après être passée à l'accueil, on lui avait demandé d'aller s'installer et d'attendre qu'un médecin vienne la chercher.
Cela faisait déjà un long moment qu'elle était là, feuilletant au hasard les magazines mis à la disposition des patients. Elle était totalement absorbée par un article lorsqu'elle entendit une voix séduisante l'appeler. Elle leva la tête, et sur le moment, elle fut incapable de bouger.
Le médecin avait la peau aussi pâle que sa soeur. Mais Lise se ressaisit bien vite, elle pensa qu'il était impossible qu'un vampire soit médecin. Elle ne se souvenait que trop bien de la réaction de sa soeur face à la vue du sang. Une fois, en sortant de la viande du réfrigirateur, elle avait accidentellement renversé le sang qui en dégorgeait sur le sol. Les yeux de sa soeur avaient viré au noir à la vitesse de l'éclair et elle s'était élancée au milieu de la cuisine, avant de voir Lise, la mine terrorisée. Elle avait alors stoppé sa course pour s'enfuir le plus vite possible, ne revenant que deux jours plus tard, en demandant des excuses pour son comportement.
Lise se leva et suivit le médecin à l'intérieur de son bureau. Elle retira le sac qui reposait sur ses épaules et le posa au sol, contre un mur. Puis elle alla s'installer sur la chaise reservée aux patients. Elle serra les bras sur sa poitrine et attendit que le docteur lui dise ce qu'elle devait faire.
Elle se sentait légèrement intimidée par cet homme. Il était séduisant, mais il dégageait quelque chose qui faisait se hérisser chaque poil de son corps. Elle sentit même un frisson glacé parcourir son échine. Pourtant, sur le visage du docteur, on pouvait lire la bienveillance. | |
| | | Carlisle Cullen ¤Fondateur du Clan Cullen¤
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Jeu 1 Juil - 19:37 | |
| Lorsque la jeune femme que je venais d'appeler se leva de son siège pour venir avec moi, je pu remarquer qu'elle ne semblait pas très à l'aise, j'avais même l'impression qu'elle connaissait ma nature profonde, j'ai vu passer quelque chose d'étrange dans son regard, quelque chose que je n'arrivais pas à qualifier, mais c'était si rapide que je me demande un instant si je ne l'ai pas imaginer, oui c'était possible. Je marchais donc dans le couloir, suivi par Lise, puis j'ouvris la porte de mon bureau et la laissais passer devant moi. Tandis qu'elle s'installait, je fermais la porte et m'assis à ma place. Elle se tenait assise, les bras serrés contre sa poitrine tandis que je parcourais rapidement son dossier des yeux, oh non, elle avait un cancer. Décidément, aujourd'hui n'était pas une journée très heureuse, mais bon sang, elle était si jeune. Mon visage restait impassible même si je trouvais tout cela complètement injuste et puis, je ne voulais pas qu'elle pense que j'avais pitié d'elle, après tout elle a dû en avoir beaucoup des regards apitoyés.
Brisant le silence ambiant, je la regardais en lui souriant aimablement.
- Alors, dites-moi Mademoiselle Vinca, qu'est-ce qui vous amène en consultation ? J'ai votre dossier sous les yeux, donc je sais ce qu'il y a à savoir sur vous, mais ressentiriez-vous des douleurs ou bien désirez-vous un autre traitement parce que vous jugez celui-ci inefficace ? En un mot, que puis-je pour vous ?
J'avais vu sur son dossier qu'elle prenait tout un tas de médicaments, disont plutôt que des médicaments lui avait été prescrits, mais peut-être ne les prenait-elle pas, peut-être ne pouvait-elle pas se les procurer.
Tandis que j'attendais qu'elle m'explique la raison de sa visite, on frappa à la porte de mon bureau. Je fronçais les sourcils, pourquoi me dérangeait-on alors que j'étais en pleine consultation. Je regardais Lise et esquissait un sourire d'excuse.
- Excusez-moi un instant. Oui, Entrez !
La porte s'ouvrit sur une infirmière qui tenait un papier dans ses mains. Alors quoi, c'était pour de la paperasse qu'on me dérangeait.
- Pardonnez-moi Docteur Cullen, mais vous avez oublié de signer cela.
- Et ça ne peut pas attendre ?
- Non, c'est le certificat de.....
- Ah je vois, bien donnez-le moi.
Elle s'avança et me tendit la feuille, je signais rapidement et la lui redonnais, lorsqu'elle fut parti, je me concentrais à nouveau sur Lise. J'avais interrompu l'infirmière parce qu'elle m'avait emmené le certificat de décès de l'enfant à signer....quel manque de tact.
- Excusez-moi. Je suis à vous.
Dernière édition par Carlisle Cullen le Jeu 1 Juil - 20:27, édité 1 fois | |
| | | Lise Vinca Humain
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Jeu 1 Juil - 20:20 | |
| Lise attendit patiemment que le docteur finisse de lire son dossier. Elle savait qu'il allait voir qu'elle avait un cancer. Tout ce qu'elle espèrait, c'était qu'il ne se mette pas à lui parler comme un chien battu, sous prétexte qu'elle était condamnée à vingt ans. Cependant, le médecin la traita comme quelqu'un qui vient juste pour un petit rhume, il ne se mit pas à compatir devant elle. Elle lui en fut très reconnaissante.
Le docteur lui demanda ce qu'il pouvait faire pour elle. Lise hésitait à avouer qu'elle ne prenait pas ses médicaments, elle avait peur de recevoir une réprimande. Ce n'aurait pas été la première fois qu'un médecin lui faisait une leçon de morale sur sa prise de médicaments. Mais Lise s'en fichait pas mal de ces cachets. Rien ne pourrait la guérir, quoi qu'il arrive, elle finirait par succomber à son cancer. Sauf évidemment si elle parvenait à mettre son plan à exécution. Mais ça c'était une autre affaire.
Quoi qu'il en soit, elle voulait quand même ses médicaments contre la douleur, car les piques violentes qui lui traversaient la poitrine se faisaient de plus en plus présentes. Cela devenait vraiment insupportable et Lise ne pouvait plus faire semblant de les ignorer.
Elle s'apprêtait à expliquer la raison de sa présence lorsque que quelqu'un frappa à la porte du bureau. Le médecin lui demanda un instant, en lui présentant un sourire d'excuse. Elle fit signe de la tête qu'elle voulait bien patienter. Une infirmière entra, elle tenait un morceau de papier entre ses doigts. Le docteur sembla trouver fort importunant qu'on vienne le déranger pour une signature.
Etrangement, il ne laissa pas le temps à l'infirmière de terminer sa phrase et se dépécha d'aposer sa signature sur le document. Peut-être ne souhait-il pas que Lise entende de ce dont il s'agissait. Après tout, les patients ne sont pas sensés savoir de quoi souffre un autre malade. Lise en fut satisfaite, au moins ce médecin respectait le secret médical.
L'infirmière finit par repartir et le docteur reporta son intention sur Lise, lui demandant de poursuivre. Lise prit une inspiration et se lança.
Eh bien, il se trouve qu'en ce moment je suis très loin de chez moi. De fait, je n'ai plus de médicaments. Ces derniers jours, la douleur s'est réveillée. Je voulais savoir si vous pouviez me faire une ordonnance.
Lise baissa les yeux, attendant la sentence. | |
| | | Carlisle Cullen ¤Fondateur du Clan Cullen¤
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Ven 2 Juil - 12:16 | |
| Je regardais Lise tandis qu'elle m'expliquait pourquoi elle n'avait pas pu prendre ses médicaments. Elle m'expliqua qu'elle était loin de chez elle et que c'était donc la principale raison. Je n'avais aucune raison de ne pas la croire, toutefois je me demandais aussi si, se sachant condamné, elle se disait qu'elle n'avait pas besoin de prendre ces médicaments qui, de toute manière, ne la sauverait pas. Tandis qu'elle me parlait, je ne pu m'empêcher de penser à mon fils, Edward. Lui aussi était condamné, c'était sa mère sur son lit de mort qui m'avait supplié de le sauver. Je me souviens encore précisément de ce que j'avais ressenti le jour là, le jour où j'ai fait d'Edward un vampire. Je le regardais se tordre de douleur dans son lit et, sachant que c'était moi l'instigateur de cette douleur, j'avais l'impression qu'une partie de mon âme s'échappait de moi, c'était vraiment atroce. J'avais aussi ressenti cela en créant Rosalie et Emmett, mais lorsque je les regarde aujourd'hui, pas un seul instant je ne regrette mon geste.
Je me secouais intérieurement et je reportais mon attention sur Lise. Elle avait la tête baissé et semblait attendre une sentence. Certes j'aurais pu la sermonner sur le fait de devoir avoir toujours ses médicaments avec elle, mais à mon avis mes précédents collègues ne s'en étaient pas privé et je suis absolument certain que ce n'est pas de cela dont elle a besoin. Je la regardais en souriant.
- Et bien Lise, avant de pouvoir vous délivrer une ordonnance, je vais devoir vous examiner
Je l'invitais d'un geste à passer sur la table d'auscultation.
- Vous pouvez rester en t-shirt, je n'ai pas besoin que vous vous déshabillez pour vous ausculter.
J'attendais donc qu'elle s'installe pour que je puisse l'ausculter correctement. | |
| | | Lise Vinca Humain
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Ven 2 Juil - 13:41 | |
| Le docteur Cullen semblait perdu dans ses pensées. Il ne répondit pas tout de suite et Lise se demanda s’il était en train de chercher le meilleur moyen de lui passer un savon. Mais contre toute attente il lui dit qu’il allait l’ausculter. Lise leva la tête et pu voir qu’il souriait. Finalement, elle avait de la chance d’être tombé sur lui, et pas sur un de ses collègues qui l’aurait ennuyée à mourir avec ses leçons de morales.
Comme le docteur l’invitait à s’installer, elle se leva de sa chaise et se dirigea vers la table. Elle retira son pull, le posant sur un tabouret proche. Le médecin lui dit qu’elle pouvait rester en t-shirt, ce qui lui convenait très bien. Elle retire donc ses baskets et les rangea côtes à côtes sous le tabouret où se trouvait déjà son vêtement.
Elle prenait son temps, elle n’aimait pas se faire examiner. Pour tout dire elle en avait assez. Depuis que les premiers symptômes de sa maladie étaient apparus, elle passait son temps entre les mains des médecins. Elle avait passé maints examens, de la simple prise de sang au scanner. Et elle commençait à trouver cela agaçant. Elle avait parfois envie de balancer au visage des médecins qu’elle en avait plus qu’assez que des inconnus la touche en divers endroits, pour savoir si là, ça faisait mal. Cependant elle se retint, ce médecin avait l’air gentil et elle ne voulait pas se le mettre à dos en se montrant antipathique.
Alors qu’elle se demandait ce que le docteur allait lui faire comme examen, elle tenta d’apaiser ses craintes.
Dites-moi Docteur ? Vous n’allez pas me faire de prise de sang ? Non parce que j’ai horreur de ça, j’ai toujours détesté les aiguilles.
Elle se tue puis hésita un instant avant de poursuivre.
Il faut que je vous dise quelque chose. Je ne veux pas que vous me donniez tous les médicaments, je veux juste ceux contre la douleur. Je sais que vous allez me dire que ce n’est pas bien, mais pour tout vous dire j’en ai assez d’avaler différentes gélules tous les matins. Tout ce que je veux c’est ne pas avoir mal.
Elle espérait que le docteur allait accepter sa requête. Et au pire, même s’il tenait absolument à lui faire une ordonnance complète, elle pourrait demander au pharmacien de ne lui délivrer que ceux qu’elle voulait, prétextant qu’il lui restait encore des autres, que ça ne servait à rien de faire du gâchis. De plus, ici elle ne pouvait pas faire fonctionner sa carte vitale et elle préférait ne pas épuiser le peu d’argent qu’il lui restait. Ce qui lui fit songer qu’il fallait qu’elle arrive à se trouver un petit boulot si elle espérait pouvoir se payer à manger encore un moment. Elle se dit que peut-être le docteur pourrait l’aider.
J’ai autre chose à vous demander, qui n’a rien à voir avec la consultation. Mais je me disais que comme vous connaissiez la ville vous sauriez peut-être où je pourrais trouver du travail. Je viens d’arriver à Forks et je n’ai pas encore pu faire le tour de la ville pour voir si un poste était libre quelque part.
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| | | Carlisle Cullen ¤Fondateur du Clan Cullen¤
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Ven 2 Juil - 19:35 | |
| Je la laissais s'installer, se mettre à l'aise, j'étais d'avis qu'elle en avait assez de se faire ausculter, mais je n'avais pas le choix, je ne voulais pas lui prescrire quelque chose qui pourrait aller en opposition avec ses médicaments précédents ou bien quelque chose qui pourrait la rendre encore plus malade qu'elle ne l'était déjà. Lorsqu'elle fut prête, je m'approchais d'elle et elle me demanda si j'allais lui faire une prise de sang. Voilà une des bizarrerie de mon métier, voilà pourquoi les Volturi ne comprennent pas comment je peux faire pour résister au sang humain, vous imaginez un vampire, faisant des prises de sang à ses patients en n'en prenant pas une seule goutte pour lui-même ? Et bien c'était mon cas, j'avais appris avec les années à contrôler ma réaction face au sang, si bien que le sang humain ne m'attirait pas plus que cela. Je pouvais me dominer, cela aurait fait mauvais genre que je saute sur un patient pour m'abreuver de lui.
Je me souviens d'une chose qui m'est arrivé pendant le début de ma carrière de médecin, à l'époque les gens venaient dans des endroits au confort et à l'hygiène un peu rudimentaire et il n'était pas rare de voir mes patients arriver avec leur animal de compagnie. Une fois, une patiente arriva avec son caniche, tout le temps où elle était là, cette "charmante" personne passait son temps à critiquer le moindre de mes gestes. Je suis quelqu'un de calme, mais il ne faut pas exagérer, surtout qu'à cette époque je n'avais pas encore cette maîtrise de moi-même, je l'ai pourtant épargné, mais...son chien eu moins de chance qu'elle. Ce fut la seule et unique fois où je m'attaquais à un animal domestique.
Je regardais Lise en souriant, voulant la rassurer sur ce que j'allais faire.
- Non, ne vous en faites pas, je n'ai pas besoin d'analyser votre sang pour vous prescrire ce que je veux vous prescrire, mais j'ai besoin d'entendre votre coeur et de prendre votre tension pour voir si tout va bien de ce côté là.
Je commençais donc à écouter son coeur, puis je pris sa tension, un peu élevée mais rien d'alarmant, je le lui dit tout de même en lui demandant de se ménager un peu, je lui regardais le fond de ses yeux. Lorsqu'elle me dit qu'elle ne voulait pas que je lui donne les autres médicaments, je la regardais et l'écoutait attentivement, puis je lui demandais de revenir s'asseoir sur le siège devant mon bureau. Lorsque ce fut fait, je repris ma place et la regardait à nouveau.
- Vous savez Lise, en tant que médecin mon devoir serait de vous dire que vous n'agissez pas bien en faisant cela, mais en tant qu'homme, je peux parfaitement comprendre ce que vous ressentez, vous ne voulez plus prendre vos autres médicaments parce que de toute manière vous vous dites que ce n'est pas ça qui changera quoi que ce soit pour vous, n'est-ce pas ?
Je lui prescris des médicaments contre ses douleurs, mais rien d'autre.
- Je vais donc dans votre sens, je vous ai prescrit des anti-douleurs, vous ne devriez pas ressentir d'effets secondaires, si toutefois c'était le cas, n'hésitez pas à reprendre contact avec moi.
Je lui notais le numéro de mon téléphone portable.
- Tenez, voici mon numéro personnel, au moindre problème n'hésitez pas un seul instant, quelle que soit l'heure, de jour comme de nuit.
J'écoutais sa demande à propos d'un travail. Je n'avais pas entendu parler d'offre d'emploi récemment, cependant j'avais moi-même besoin de quelqu'un, l'hôpital m'enjoignait de prendre une secrétaire afin de libérer un peu les infirmières.
- Et bien, je n'ai pas entendu d'offre d'emploi récemment, cependant j'aurais quelque chose à vous proposer, l'hôpital me serine depuis un moment pour que j'embauche une secrétaire afin de noter mes rendez-vous, de répondre au téléphone et d'organiser mon agenda. Ils me laissent libre d'engager la personne que je jugerais compétente pour ce travail. Est-ce que cela vous intéresserait ? Vous aurez le salaire de base évidemment, mais cela pourra augmenter par la suite. Qu'en dites-vous ? | |
| | | Lise Vinca Humain
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Ven 2 Juil - 23:32 | |
| Lise fut soulagée d’apprendre que l’examen du docteur ne consisterait qu’à des choses basiques. Elle n’était pas d’humeur à se faire examiner dans tous les sens, ses nuits en plein air l’épuisait et la rendait quelque peu grincheuse. Elle laissa le docteur poursuivre son auscultation sans broncher. Il lui demanda de se ménager. Pourtant elle n’avait pas l’impression d’en faire trop, mais peut-être que sa vie de vagabonde était plus intensive qu’elle ne le pensait.
Pendant que le médecin l’auscultait, elle sentit un frisson parcourir sa peau. Il fallait dire qu’il avait les mains glacées. Après tout avec ce temps maussade, il y avait de quoi avoir froid. Mais peu importait, le médecin lui demanda de revenir s’asseoir devant son bureau. Lise se leva et remit ses baskets et son pull puis obéit en s’installa dans le fauteuil.
Elle fut ravie lorsque le médecin lui dit qu’elle comprenait qu’elle ne veuille plus prendre ses médicaments. C’était bien le premier qui ne lui sortait pas une longue tirade sur les bienfaits des cachets prescrits. Elle lui en fut reconnaissante.
C’est vrai Docteur, je ne pense pas que les médicaments puissent faire quoi que ce soit pour moi maintenant. Merci de prendre en compte ce que je ressens.
Puis le docteur Cullen lui tendit son ordonnance avec son numéro de téléphone personnel. Lise trouvait cela très gentil de sa part, enfin un médecin qui se préoccupait vraiment de ses patients. Cependant elle se dit qu’elle éviterait quand même de l’appeler la nuit, elle ne voulait pas le déranger.
Alors qu’elle prenait le papier, sa main frôla celle du docteur et Lise sentit à nouveau le froid glacial de sa peau. Et à ce moment, cela fit écho en elle. Elle se rappela le toucher de sa sœur. Il avait la même température. Mais cela était impossible, il ne pouvait pas être un vampire. Pourtant ça correspondait le teint pâle et la peau glacée. Lise l’observa, tentant de percevoir d’autres similitudes. Puis elle se souvint des paroles du médecin et le remercia pour sa gentillesse.
Puis il répondit à sa dernière question. Il proposait de l’embaucher comme secrétaire. Ce qui fit oublier à Lise ce à quoi elle venait de penser. Il n’était plus question de vampires dans son esprit, mais de gratitude.
Vous êtes vraiment généreux, pour offrir un poste à une jeune fille comme moi que vous connaissez à peine. Je vous remercie de tout cœur et j’accepte avec plaisir. Je vous promets de ne pas vous décevoir. Ne vous inquiétez pas pour le salaire, cela me convient tout à fait.
Lise était ravie, elle allait même pouvoir se loger décemment avec son salaire, ce qui lui éviterait de continuer à vivre dans la rue. Elle ne savait pas comment remercier le docteur pour sa bonté et se promis d’être l’employée la plus modèle qui soit.
Quand dois-je commencer ? Je suis disponible dès aujourd’hui si vos besoins sont urgents. Et peut-être que je dois aller voir quelqu’un pour avoir des affaires ?
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| | | Carlisle Cullen ¤Fondateur du Clan Cullen¤
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Sam 3 Juil - 16:12 | |
| J'essayais de faire en sorte d'avoir le moins de contact avec la peau de mes patients, sachant pertinemment qu'ils pourraient se demander pourquoi j'avais les mains aussi froide, je ne me voyais vraiment pas leur expliquer que mon corps était chaud seulement lorsque je m'étais nourris. Je perçu bien les frissons sur la surface de la peau de Lise lorsque ma main la frôla, mais malheureusement je n'y pouvais pas grand chose et je fis comme si de rien était. Lorsque nous fûmes de nouveau à mon bureau, elle me remercia de prendre en compte ce qu'elle ressentait. Je lui souris.
- Je vous en prie Lise, je peux comprendre ce que vous ressentez, vous n'êtes pas la première personne que je vois et qui n'en peux plus de mener un combat qu'elle pense perdu d'avance et je suis certain que quoi que je puisse vous dire, vous ne ferez que ce que vous avez décidé de faire, donc autant que j'abonde dans votre sens dès le départ, cela rendra notre relation plus agréable, vous ne croyez pas ?
Par chance elle accepta le poste que je lui avais proposé, j'en étais content parce que pour être honnête, cela m'ennuyais de devoir reçevoir tout un tas de gens pour me demander lequel saurait convenir à ce travail et puis, je ne sais pas, mais quelque chose chez cette jeune femme m'émouvait, je ne pouvais pas la laisser ainsi, je voulais l'aider, je ne voulais pas la laisser tomber.
- Pour tout vous dire, je suis vraiment heureux que vous acceptiez, je n'avais pas franchement envie de faire passer des entretiens et puis quelque chose me dit que vous vous en sortirez très bien, de plus je pense que nous nous entendrons bien, donc inutile de chercher plus loin, je sais que j'ai trouvé la personne idéale pour cet emploi.
Lorsqu'elle me demanda quand est-ce qu'elle pouvait commencer, me disant qu'elle était prête à commencer immédiatement, je la regardais, mais, constatant une grande fatigue sur son visage, je devais modérer un peu son enthousiasme.
- Et bien pour aujourd'hui, cela ira, j'arriverais à m'en sortir, je vous laisse profiter de votre dernier jour de congé, il fait beau en plus, alors promenez-vous et reposez-vous, je vous veux en forme demain matin à la première heure. Je vous accueillerais moi-même pour votre premier jour, je vous ferais visiter un peu les lieux puisqu'il est probable que je vous envoie dans les différents étages lorsque j'en aurais besoin et puis je vous montrerais où vous serez installé pour travailler.
Ensuite je rajoutais sur le ton de la confidence en ayant un sourire amusé.
- En fait, votre bureau n'est pas encore prêt, il reste deux ou trois choses à ajouter, notamment le bureau en lui-même et la chaise, alors ça m'arrangerais que vous ne commenciez que demain. | |
| | | Lise Vinca Humain
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Sam 3 Juil - 20:09 | |
| Lorsque le docteur lui demanda si il n’était pas mieux qu’il abonde dans son sens afin que leurs relations soient plus agréables, Lise hocha la tête en signe d’assentiment avec un grand sourire. Elle était heureuse que le docteur Cullen la comprenne si bien. Effectivement, si le docteur était aussi gentil qu’il semblait l’être, elle se dit qu’elle allait vraiment l’adorer et que à l’avenir ça serait le seul qu’elle viendrait consulter pour ses problèmes.
La conversation dévia ensuite sur le poste qu’il souhaitait lui confier. Lise attendit que le médecin lui dise quand elle devait commencer son travail. Elle aurait aimé commencer dès à présent, au moins cela occuperait sa journée, mais le docteur lui demanda de commencer demain, en lui conseillant de se reposer. Cela n’allait pas être chose facile car dormir à même le sol n’avait rien de très confortable. Cependant elle acquiesça. Elle avait hâte de revenir le lendemain pour faire la visite de l’hôpital en compagnie du docteur.
Puis il lui dit qu’il fallait qu’il installe son bureau et c’était pourquoi il préférait de beaucoup qu’elle ne commence que le lendemain.
Très bien Docteur, cela me convient parfaitement. Dans ce cas je vous dis à demain. Merci pour tout.
Lise ramassa ses affaires et prit congé du docteur en lui souriant avant de quitter son bureau. Elle sortit de l’hôpital et gagna directement le centre ville. Elle voulait puiser dans le peu d’argent qu’il lui restait pour s’acheter une tenue digne de ce nom pour aller travailler. Elle ne souhaitait pas faire mauvaise impression aux patients du docteur.
Une fois pourvue de vêtements neufs et de vivres pour le soir, elle se mit en quête d’un endroit où dormir. Comme elle ne pu rien trouver, elle alla s’installer dans une petite ruelle. C’est ici qu’elle rencontra Aleksi, un vampire géant qui lui colla la plus belle peur de sa vie. Cependant, au lieu de la tuer comme elle s’y attendait, il la « déposa » dans un motel en lui laissant même de l’argent. Elle ne savait pas ce qu’elle devait penser de lui mais l’impression générale était quand même effrayante. Même si elle aurait voulu le remercier pour son geste, elle n’avait guère envie de recroiser son chemin.
Elle passa donc la nuit dans une petite chambre confortable où elle pu même se laver, ce qui était parfait avant de commencer son travail à l’hôpital. C’est donc bien reposée et vêtue de neuf qu’elle prit le chemin de l’hôpital le lendemain matin. Il était encore tôt mais elle préférait attendre un peu devant l’hôpital plutôt qu’arriver en retard.
Une fois devant la bâtisse, elle s’installa sur un banc et guetta la rue pour voir si elle voyait le docteur Cullen arriver.
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| | | Carlisle Cullen ¤Fondateur du Clan Cullen¤
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Lun 5 Juil - 15:23 | |
| Tout se passait bien, Lise avait accepté de ne commencer que demain, sans doute aurait-elle préféré commencer tout de suite, mais je voulais qu'elle se repose, sinon elle ne tiendrait pas la distance, cela était certain, sa tension était un peu élevé aujourd'hui et étant donné sa maladie, je préférais qu'elle attende un peu avant de commencer un quelconque travail. Je hochais la tête lorsqu'elle prit congé.
- Formidable, à demain Lise
Lorsqu'elle fut parti, je restais un instant silencieux, plongé dans mes pensées, que pourrais-je faire de plus pour cette jeune fille ? Je voulais l'aider, mais lutter contre un cancer à ce stade, c'est quasiment impossible. Je posais mes coudes sur mon bureau et me prit la tête dans les mains. Rah, je détestais me sentir si impuissant. Bien, il fallait que je me reprenne, j'avais d'autres patients à voir. J'appelais le patient suivant, il venait me voir pour un cors au pied. Bon sang, je ne suis pas pédicure, enfin bref, un patient est un patient. La fin de ma journée fini tout de même par arriver, après avoir vu défilé tout un tas de patients plus différents les uns que les autres, je rentrais enfin chez moi où je retrouvais ma famille avec plaisir. Je parlais à Esmée de Lise tandis que nous n'étions que tout les deux, je l'ai averti que j'avais donné mon numéro privé à cette jeune femme et je lui expliquais pourquoi.
Le lendemain, j'étais arrivé de bonne heure à mon travail, je ne dormais pas alors j'arrivais toujours au levé du soleil à l'hôpital. Je finissais de mettre un peu d'ordre dans mes dossiers, puis je m'assurais que tout était prêt pour accueillir Lise à son nouveau poste. En parlant de Lise, je regardais par la fenêtre de mon bureau et je l'aperçu devant l'établissement, elle semblait attendre quelqu'un. J'esquissais un sourire, sans doute était-ce moi qu'elle attendait. Je mis ma blouse blanche et je sorti à sa rencontre.
- Bonjour Lise, vous êtes prête pour votre premier jour ? | |
| | | Lise Vinca Humain
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| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Mar 6 Juil - 16:44 | |
| Lise attendait sur le banc lorsqu’elle vit le docteur sortir de l’hôpital, déjà prêt, à en juger la blouse qu’il portait. Elle se leva et lui fit un grand sourire.
Bonjour Docteur, je suis prête à commencer. Je pense que vous allez me faire visiter mon nouveau lieu de travail comme vous me l’avez dit hier ? Je vous remercie une fois de plus pour ce que vous faites pour moi, c’est vraiment très gentil de votre part.
Lise se demandait ce que le docteur avait prévu de lui faire faire aujourd’hui. Elle espérait pouvoir se montrer à la hauteur. Mais il était vrai que grâce à sa nuit confortable, elle se sentait beaucoup plus en forme. Bien sûr les médicaments prescrits y étaient aussi pour beaucoup.
C’est en partie grâce à vous si je suis en forme, les médicaments m’ont fait beaucoup de bien.
Apercevant l’horloge située dans le hall de l’hôpital, à travers les portes vitrées, Lise se rendit compte qu’il était encore tôt.
Vous êtes matinal Docteur, si j’avais su que vous étiez déjà là, je serais allée directement me présenter à l’accueil. J’espère ne pas m’être fait attendre trop longtemps. Si vous le voulez, je peux venir plus tôt demain. Je ne dors jamais beaucoup, je trouve que c’est une perte de temps.
En effet, vu le peu de temps qu’il lui restait à vivre, Lise n’aimait pas se prélasser au lit. Elle préférait au contraire essayer de faire un maximum de choses, dans l’idée de devancer les années qu’elle allait perdre. A moins qu’elle ne parvienne à rencontrer ce mystérieux clan dont elle n’arrivait pas à obtenir la moindre information. Forks n’était pas une grande ville, mais comment savoir quelle maison était la bonne ? Elle n’allait tout de même pas frapper à toutes les portes.
Le seul vampire qu’elle ait rencontré, et encore celui-ci avait nié en être un, n’avais pas voulu l’aider. Il s’était contenté de la menacer pour la faire taire. Et elle ne pouvait pas arpenter les rues en espérant en croiser un, ou du moins elle n’était pas sûr de pouvoir reconnaître un vampire parmi les gens de Forks, parce que si ici tout le monde était aussi pâle que le Docteur Cullen, ça allait être difficile de faire la différence. Cette particularité physique devait être due au manque constant de soleil dont souffrait la ville. Cette pensée lui arracha une réflexion.
Je sens que je vais me sentir chez moi ici, avec mon teint clair je vais me fondre dans la foule. Le soleil ne vous manque pas trop Docteur ? J’imagine que vous auriez pu avoir un emploi dans une ville comme Los Angeles ou Miami, pourquoi avoir choisi Forks ? Cela dit, je suis heureuse que vous ayez fait ce choix sinon je ne vous aurais jamais rencontré.
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| | | Carlisle Cullen ¤Fondateur du Clan Cullen¤
Messages : 54 Date d'inscription : 29/06/2010
Feuille de personnage Qui êtes vous ? : Un Vampire Vous aimez :
| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Lun 12 Juil - 14:38 | |
| Je regardais Lise qui me saluait chaleureusement, elle avait l'air un peu plus reposé qu'hier, mais ce n'était pas encore la grande forme de toute évidence. Je ne lui en fis pas la remarque, je ne voulais pas qu'elle croit que je lui retirais le poste que je lui avais proposé la veille. Je lui souris.
- C'est exact, j'ai effectivement prévu de vous faire visiter l'hôpital, de plus, je n'ai pas beaucoup de patients de prévu aujourd'hui, donc cela devrait être une journée calme, parfait pour vous familiariser avec le poste. Je suis sûr que tout se passera très bien. Mais je vous en prie, en vous rendant service je m'enlève une grosse épine du pied.
Et puis ainsi je pourrais voir si son état de santé se dégrade plus vite que la normale, je ne le souhaite pas, cependant j'ai bien cru remarquer qu'il en était ainsi et cela m'effraie un peu pour elle. Apparemment elle se sentait mieux puisqu'elle venait de me le dire. Je secouais la tête en souriant.
- Je suis heureux de vous l'entendre dire Lise.
Je jetais un coup d'œil sur l'horloge puis reporta mon attention sur Lise. C'est vrai que j'étais arrivé de bonne heure, mais ça aide lorsque l'on a pas besoin de dormir.
- Je suis toujours très matinal, certains se demandent même si je ne dors pas dans mon bureau. Heureusement que je ne le fais pas, sinon je ne pourrais jamais profiter de ma famille.
Je comprenais qu'elle ne veuille pas dormir, sans doute voulait-elle profiter des derniers instants qui lui restaient, voilà pourquoi elle se disait que dormir était une perte de temps
- Non, ce ne sera pas nécessaire, arrivez à la même heure qu'aujourd'hui ce sera parfait. A moins bien sûr que vous ne vouliez affronter le responsable du personnel...soit dit en passant, je vous le déconseille, c'est un vrai dragon.
Je commençais à avancer vers l'hôpital avec Lise tandis qu'elle me posa une question, je dois dire que j'étais bien ennuyé, je n'aimais pas quand on me posait ce genre de question parce que les trois-quart du temps cela provenait d'une personne qui ne savait rien de ma condition et il fallait à chaque fois trouver quelque chose de crédible. Je lui répondit sans un soupçon d'hésitation dans la voix.
- Disons que je fais une réaction allergique au soleil, alors non il ne me manque pas du tout. Et si j'ai choisi Forks, c'est pour la qualité de vie qu'elle proposait, vous savez si j'avais été seul, j'aurais très bien pu aller dans une autre ville, mais avec ma famille, nous avons trouvé ici une quiétude qui n'existe pas ailleurs et je ne voudrais changer d'endroit pour rien au monde.
Je lui souris et rajoutais.
- Je n'ai jamais regretté ce choix et comme vous le dites, il nous a permis de nous rencontrer. Prête pour la visite.
Et je lui fis donc faire le "tour du propriétaire". | |
| | | Lise Vinca Humain
Messages : 52 Date d'inscription : 14/02/2010
| Sujet: Re: Les Aléas de la médecine [PV : Lise] ABANDONNE Mar 13 Juil - 22:04 | |
| D’accord Docteur cela me conviens très bien, je préfère éviter le responsable s’il est aussi désagréable que vous le dites. Oh et ne vous en faites pas, je n’ai rien entendu, je garde votre avis pour moi.
Lise suivit le médecin qui lui expliqua pourquoi il avait choisi Forks. Une réaction allergique au soleil ? Le pauvre ça ne devait pas être facile. Au moins à Forks il devait être tranquille, le soleil n’était pas l’atout de cette ville. Lorsque le docteur lui demanda si elle était prête pour la visite, Lise hocha la tête.
Elle se montrait attentive et essaya d’encrer dans sa mémoire les lieux et les informations dispensées par le Docteur Cullen. Elle voulait vraiment être une employée modèle et avait hâte que le docteur lui explique ce qu’il attendait d’elle.
Il lui avait dit qu’elle aurait un poste de secrétaire et qu’elle devrait s’occuper de son agenda et du téléphone. Mais ce n’était certainement pas tout et il lui faudrait aussi savoir de qu’elle manière le docteur aimait s’organiser. Il aurait sûrement été embêté si Lise lui collait un rendez-vous à l’heure où il avait l’habitude de prendre son déjeuner. Elle avait milles questions à poser, mais elle ne voulait pas interrompre le docteur. Cependant, une lui posait vraiment problèmes car elle ne voulait pas faire de faux pas.
Dites-moi Docteur, lorsque je répondrais au téléphone, voulez-vous que j’emploie une formule en particulier ? Je ne sais pas ce que vos patients ont l’habitude d’entendre.
Et pour cause, lorqu’elle-même était venu voir le docteur, elle n’avait pas pris la peine de téléphoner à l’hôpital. Elle ne possédait pas de portable et n’avait pas envie de courir après une cabine téléphonique. Elle était simplement venue se présenter à l’accueil, expliquant son problème et avait demandé si un médecin pouvait la recevoir. En y réfléchissant, elle se dit qu’elle avait eu de la chance que la personne de l’accueil l’oriente vers le Docteur Cullen. Dans le cas contraire, elle ne serait certainement pas ici aujourd’hui à parler de son nouveau travail.
Docteur ? Est-ce que mon bureau se trouve dans la même pièce que le votre ? Et sinon, comment dois-je faire lorsque j’ai quelque chose à vous dire ? Je vous téléphone ou bien je viens vous voir directement ? Et comment cela se passe-t-il pour communiquer avec les autres services ?
Lise sourit au Docteur et secoua brièvement la tête. Finalement, elle n’avait pas réussi à s’empêcher de parler. Il faudrait qu’elle apprenne à montrer un peu plus de retenue.
Pardonnez-moi, je pose trop de questions. C’est que je suis si curieuse de savoir comment va se dérouler mon travail et si pressée de commencer que j’ai du mal à me retenir. Mais je me tais, promis. | |
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